Dans Paris occupé, la vie de René, né en 1922, est compliquée. Sa grand-mère, qui l’a élevé, vient de décéder. Il doit quitter précipitamment son emploi pour échapper à une première réquisition et se pense à l’abri après avoir été embauché à la S.N.C.F. Mais les ennuis vont commencer et s’éloigner de la gare de triage où il officiait va devenir une nécessité.
L’étau va se resserrer, il sera expédié en Allemagne au titre du Service du Travail Obligatoire.
A la gare d’Ulm, sur le Danube, en Allemagne où il doit travailler, les règles ne sont pas respectées, les requis sont maltraités. Infrastructure de la plus haute importance, la gare va être bombardée et ruinée par les alliés et René va être blessé. Le 24 avril 1945, à 11 heures, il se trouve face à des soldats américains, il se croit libéré mais rien n’est encore joué et le rapatriement ne va pas être aisé.
Enfin rentré, rien n’est terminé et malgré le temps, les souvenirs ne seront jamais effacés.
L'auteur retrace cette partie de la vie de son père en se basant sur des souvenirs et de nombreux documents précieusement conservés, toute sa vie, par le "P'tit gars du S.T.O."

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Ils étaient enfants de Limay, un village en Seine et Oise(1), ils ont été acteurs de la Grande Guerre.

Ne les oublions pas !

Dans le nouvel ouvrage de Catherine Livet, 231 Poilus de Limay redeviennent des fils, des frères, des époux, des pères...

Nous les découvrons étudiants, cultivateurs, charrons, menuisiers, épiciers, distillateurs, instituteurs, notaires, maires...

Nous partageons avec eux les champs de bataille ainsi que le froid, la faim, la maladie, les peines, les souffrances, les blessures, les mutilations et la mort...

Nous remercions toutes les personnes qui ont pris la peine de répondre à l'appel à contributions lancé en septembre et octobre 2021 en nous signalant leur ancêtre soldat de la Première Guerre Mondiale né, vivant, travaillant ou mort à Limay.

Vous pouvez trouver de larges extraits sur toutes nos pages sur le réseau social de votre choix et nous vous offrons :

Henri et Félix, les frères Foubert, Morts pour la France !

(1) Aujourd'hui Yvelines - Photo non contractuelle


Le tome 2 est en préparation


Un grand malheur vient de frapper la France : La bataille de Sedan a été perdue et Napoléon III fait prisonnier.
Et puis Paris a été assiégé. La ville entière s’est mise à souffrir et les Parisiens à gronder…
La Commune de Paris est née de toutes ces peines qui allaient devenir horreurs.
Ils se prénommaient Clémentine, Jacques, Isidore, Alfred et Adolphe.
Elle était Médaillée Militaire. Ils étaient vernisseur sur cuir, blanchisseur, mécanicien et employé.
Ils étaient à Paris en 1870 et 1871.
Mais pourquoi a-t-on retrouvé Clémentine Noyon en Nouvelle-Calédonie ? Qu'était venu faire Jacques Beckrich au cœur du quartier de Belleville durant le siège et la Commune de Paris ? Qu'ont fait Isidore Petitjean et Alfred Ouster pour avoir été condamnés à la déportation ? Pourquoi Adolphe Lapote a-t-il versé son sang sur une barricade parisienne ?
Dans « Mes ancêtres et la Commune de Paris », les anonymes sortent de l’ombre de l’Histoire !

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